Nom : Mokushine

Prénoms : Kodomo

Âge : 17 ans

Sexe : Masculin

Orientation Sexuelle : Hétéro, facilement attiré par plus mature que soi (ce qui n'est techniquement pas vraiment compliqué... Complexe d'œdipe?)

Métier : Étudiant

Tu ressembles a quoi ?
Kodomo est, comme son nom le signifie en japonais : un gamin, car oui, il est d'origine japonaise, ce qui implique l'inéluctable fait qu'il ait les cheveux noirs et les yeux noisette. Il n'est pas si petit que son nom pourrait le faire sous-entendre -quoique- mais la vue de son visage ne pourrait en aucun cas aider à deviner son âge car il fait tout de même très enfantin. Il a l'air assez innocent et sage même quand il se met en colère... Sauf lorsqu'il est vraiment très énervé -ce qui arrive très rarement, pour ne pas dire jamais- sinon son air innocent reste tout de même très visible, ne l'aidant pas à se donner un air sérieux. Cependant il cache ses émotions par un air faussement irrité qui ne trompe personne.

A quoi tu penses ?
Ce gentil petit bambin qu'est Kodomo est calme la plupart du temps même s'il a son petit caractère tsundere qui le rend un peu agressif par moments. Il n'est pas très réfléchi et préfère écouter ses sentiments plutôt que sa raison mais n'aime pas que ça se remarque. Il ne supporte pas les gens vaniteux et insouciants enclins au futile mais ne le dit pas car il n'est pas très loquace, même pour exprimer quelque chose d'important pour lui. Le seul moment où il parle beaucoup est pendant son sommeil, mais toujours dans une langue étrangère au grand dam de ses colocataires. Il aime... Non. Il adore le chocolat, le rendant facilement manipulable -ce qui par ailleurs ne le dérange pas même s'il se sait utilisé- car il ne sait rien refuser en échange d'un petit bout. Sa seconde faiblesse est... La très -trop- grande "admiration" que lui inspire Emeraude Mitsuri, professeur qu'il s'est surpris à esp observer, le motivant à redoubler d'effort uniquement dans la matière qu'elle enseigne pour monter dans son estime. Il parait même qu'il s'entraîne régulièrement à chanter et à ne pas bégayer dès qu'il est seul dans sa chambre ou qu'il pense l'être.

Raconte-moi ton histoire ... [WARNING : Pavé que j'ai adoré écrire et que j'espère que vous adorerez lire, dans lequel j'ai tenté de vous rendre l'identification au personnage très abordable (ça sent le vécu me dira-t-on) et dans lequel vous éprouverez peut-être même de la sympathie pour la confiture... Bon appétit.]
Quelques murmures à peine audibles s'élevaient dans une pièce sombre, dérangeant à peine l'ambiance quasi religieuse qui régnait dans le lieu sacré, à l'heure d'un rite divin que l'on appelle plus communément : sieste.
"Boku wa kodomo dewa nai... C'est nul comme jeu de mot, c'est mon prénom. Be quiet Kei, you get on my nerves... That's not funny..." Kodomo dormait paisiblement malgré ses paroles, jusqu'à ce que le bruit d'un interrupteur qu'on actionne se fasse entendre et qu'une lampe inonde sa chambre de lumière. Une voix pleine de dynamisme et d'enthousiasme s'ajouta aux événements perturbateur de son sommeil.
"Ohayo mon petit poussin. Il est temps de sortir du nid!"
"N...Nemuritai... Laisse-moi dormir, m'man..." La voix de l'adolescent assailli emmitouflé dans ses couvertures était faible, tout aussi endormie que son propriétaire et le flot de parole cassé par un réveil trop brutal.
"T-t-t-t! Le monde appartient aux gens qui se lèvent tôt, mon chéri. Et aujourd'hui est un grand jour pour toi puisque tu vas faire ton entrée à l'académie!"
"Si le monde dont tu parles c'est l'école, je préfèrerais le laisser aux autres... C'est trop tôt." Effectivement, le soleil lui-même ne s'était pas encore levé. "Peut-être que lui aussi avait envie de faire la grasse matinée" ne pu s'empêcher de penser Kodomo qui ne tenait pas vraiment à sortir de son cocon douillet moelleux et si chaud.
"Allons, il faut partir très tôt si tu veux avoir le temps d'installer tes affaires dans ce qui sera ta future chambre, à l'internat." riposta M. Mokushine qui, sur cette belle réplique, apporta main forte à sa femme dans sa tâche en ôtant d'un seul geste toutes les couvertures reposant sur le matelas, preuve qu'il n'avait aucun scrupule et que sans doute il ne ressentirait aucun regret futur à avoir commis un tel acte.
"Traitre" se dit son fils en sentant avec horreur la douce chaleur de ses draps se faire la malle, remplacée par un air frais fourbe le taquinant même sous son pyjama. Ce coup-ci, il ouvrit les yeux, et bien que réticent à l'idée de quitter son lit, il en sortit, poussé par le froid et par la conscience que s'il ne le faisait pas, sa mère n'hésiterait pas à employer la redoutable technique interdite. Et comme il était extrêmement chatouilleux, il voulait éviter une telle attaque.
Après avoir pris une bonne douche vivifiante et que "non maman, je suis assez grand pour le faire tout seul", il descendit à la cuisine où un petit déjeuner copieux l'attendait, trônant fièrement sur la table. Il l'engloutit sans dire un mot sous le regard attendri de ses parents. Mais même si rien ne fut prononcé, il ne pouvait se faire à l'idée que désormais, que ce soit matin, midi, ou soir, ce serait : cantine. Sa réflexion se creusant petit à petit et son regard croisant tour à tour celui de sa mère et de son père, il réalisa qu'il ne les verrait plus que le week-end, ainsi que tout le reste de la maison, tout ce qui lui était familier. Kodomo eut horreur de l'admettre mais il se sentait nostalgique et son ancienne vie lui manquait déjà. Il faut dire que lorsque l'on est le fils unique de parents excessivement affectifs et protecteurs, il ne faut pas s'étonner d'être émotif. Heureusement, ses fréquentations hors du cocon familial -même si ce n'était pas les meilleures qu'un enfant aussi bien élevé que lui pouvait espérer avoir- avaient au moins le mérite de lui avoir forgé son petit caractère et lui donner la capacité à se débrouiller en autonomie. Mais même en sachant ça, ses géniteurs étaient tout de même inquiets à l'idée de le voir affronter le monde sans eux.
Une petite goûte de confiture de fraise profita de la réflexion philosophique du protagoniste pour échapper à sa destinée et fuir la tartine pour terminer son évasion sur la table, en tache rouge prélassée sur le meuble. O que de bien vains efforts, car l'adolescent asiatique -absolument convaincu qu'il était encore en pleine croissance- se sentit obligé de la récupérer soigneusement sur son index avant de l'avaler. Pas de chance.
"Il est l'heure." annonça doucement la figure maternelle, interrompant une scène on-ne-peut-plus-commune et pourtant si criante d'humanité. "Tu es sûr que tu vas bien?" s'enquit-elle en voyant l'air étonnement grave qui se dessinait sur le visage de son petit protégé, expression que même elle n'avait pas l'habitude d'entrevoir.
C'est à présent la figure paternelle qui ajouta, en continuation aux paroles de sa femme : "C'est vrai que tu as l'air un peu pâle."
"J'ai toujours été pâle, pas la peine d'en faire une maladie." rétorqua un peu froidement Mokushine junior qui ne voulait pas montrer qu'il était heureux d'avoir des parents toujours en alerte et prêts à l'aider et le soutenir.
Son père sourit à cette réponse un peu piquante -une telle combativité n'était-ce pas signe de bonne santé après tout? "Soit. Alors tu es prêt? On va y aller, déjà qu'on n'est pas en avance..."
Le jeune garçon acquiesça même si ce n'était pas une réponse honnête à ce qui lui était demandé. Il remonta à l'étage et rassembla lentement ses bagages, profitant encore un peu de ce lieu qu'il connaissait si bien et dans lequel il a vécu tant de choses; et il se remémora les bons moments comme les mauvais avant de se diriger vers la sortie de la maison.
Décidément, la chaleur de son foyer allait lui manquer...

Quelques détails que tu aurais oublié ? -Il est très lent à la détente pour comprendre les blagues.
-Lui et l'alcool ne font vraiment pas bon ménage alors évitez de lui donner des boissons alcoolisées -même s'il voudra descendre quelques bouteilles pour montrer qu'il n'est plus un enfant- il a déjà assez de mal à venir à bout de boissons pétillantes...

Smiley-personnage :

Et enfin un petit mot de Kodomo :

Désolée de m'incruster mais...
pourquoi tous les petits font cette réflexion qui tue ? /shot (ouinonmaisvoilà)

kyaaa kodomo vivent que le rpg commence ^^

Ah oui, Kodomo est enfin arrivé.

Elleiina a écrit:

Désolée de m'incruster mais...
pourquoi tous les petits font cette réflexion qui tue ? /shot (ouinonmaisvoilà)

Il n'est pas petit! ... Euh, je voulais dire : parce que je trouve ça normal et que c'est un peu mes pensées du moment ;A; //SHOT//